Reconnaissance

Allez, parce que de temps en temps, c’est important. Je voulais donc exprimer ici ma

Reconnaissance envers les arbres qui ont poussé, envers les humains qui ne les ont pas coupés, envers le soleil qui aime jouer avec le feuillage. Reconnaissance envers cette atmosphère automnale qui commence, cet air plus transparent, ce parfum de moisi de champignon et de châtaignes incomparable.

Reconnaissance envers le fait -je n’y avais pas pensé- que l’un des avantages des forêts citadines, c’est l’absence de chasseurs en cette saison (ce qui signifie probablement que n’y habitent ni chevreuils ni sangliers, ce qui a un côté triste, mais en même temps, je ne pense qu’ils soient très heureux dans une forêt, si grande soit-elle, où ils seraient prisonniers.

Reconnaissance envers les chats, qui n’ont pas l’air de m’en vouloir ni de trop souffrir de ce déménagement. Ils ont vu qu’ils avaient toujours leurs gamelles matin et soir, une main pour les caresser et même un espace extérieur pour prendre l’air, et il semblerait que cela leur suffise (même si j’aimais les voir courir dans toutes la maison, ce qui n’est plus possible, et c’est vrai qu’on se gêne parfois un peu les uns les autres, mais enfin, en gros, c’est positif)

Reconnaissance, donc, envers cet appartement qui offre un accès extérieur relativement sécurisé puisque la partie privative donne sur un assez grand parc commun. Bien sûr, les risques d’accidents existent, mais ils restent relativement limités (de toute façon, j’ai des chats assez peureux, c’est l’avantage)

Et oublions les coups de mou pendant quelques minutes !

(Je suis moins reconnaissante envers les pubs que vous devez vous coltiner sur ces pages. Il va bien falloir finir par agir. Et en même temps, j’écris tellement peu ici ! Mais tout de même, arrêtons un peu de faire les choses à moitié)

Le ronronnement du chat

Bon, arrivé à ce stade, ce n’est un secret pour personne que j’aime les chats. J’en ai même fait temporairement mon métier.

J’envie les chats pour plein de choses, bien sûr. La grâce féline et leur jemenfoutisme exagéré mais assumé, par exemple. Bon, je leur envie aussi que leur gamelle semble se remplir toute seule, sans charge mentale de devoir commander la bouffe, et que les litières aussi se nettoient comme par magie.(mais je ne leur envie pas, globalement, de ne pas pouvoir choisir leurs colocataires, mais bon, on ne peut pas tout avoir non plus)

Mais ce que je leur envie par dessus tout, c’est leur capacité à ronronner. Le ronronnement est une chose formidable, qui fait du bien au chat qui ronronne ET à ceux qui l’entourent. Comme un sourire ? Oui, exactement comme un sourire. J’envie un peu le chat qui, à mon approche, se met à ronronner de plaisir anticipé et en profite pour me dire qu’il est content d’avance que je sois prête à le caresser. Je veux dire, j’aimerai bien pouvoir faire la même chose, ronronner doucement pour exprimer à moi-même et à mon entourage que là, je suis bien. Pas forcément joyeuse ou même heureuse, mais plutôt apaisée et sereine. Et si j’avais su ronronner, est-ce que cela aurait suffit à me faire passer toutes ces situations stressantes ? Bon, sans doute pas quand même.

Oui, parce que oui, je suis au courant du fait que les chats ronronnent aussi de détresse. Mais j’ai la faiblesse de penser que dans un environnement où ils ont la possibilité physique et géographique de s’éloigner, s’ils ne voulaient pas de moi à côté d’eux, ils partiraient plutôt que de ronronner. Puisque, autre avantage du chat, il n’a pas à se préoccuper de vexer ou non ses camarades. Il a toujours la bonne excuse du « eyh, je suis un chat qui s’en va tout seul, tu ne connais pas tes classiques? ». Bref.

Ce que je voulais dire, c’est que en ronronnant, le chat se fait plaisir. Il prépare même les futurs moments angoissants en mode méthode Coué puisque comme ça, dans une situation stressante, il pourra ronronner et se souvenir ainsi des moments où il était content, auprès de sa môman puis de son humaine attitrée. Car le chat est très fort en sophrologie, comme vous pouvez le constater.

Mais en plus, ce faisant, il apaise son entourage, que ce soit l’entourage félin (si un chat ronronne dans une pièce, il y a de grands chances pour que Beau Kempi débarque en disant « quoi quoi quoi, c’est distribution de coups de brosse ? Moi moi moi ! »), ou l’entourage humain (ronronthérapie, tout ça)

Tout cela pour conclure : il y a pire, comme réveil, que se retrouver nez à nez avec un petit chat roux qui ronronne doucement à votre oreille. Alors, merci à toi, chat.

Voilà, c’était histoire d’équilibrer un peu la balance de ce blog qui virait beaucoup au négatif. Quand on peut, l’équilibre, c’est important.

Humeur du moment : et en plus, dans les bonnes nouvelles, j’ai eu mon permis ! Ce qui n’était pas gagné. Du tout. Long story, souvenez-vous (et il y a eu plusieurs épisodes par la suite non relatés ici, en plus)

Bande-son ? Le ronronnement du chat, bien sûr !

Kempi, qui ne dirait pas non à quelques coups de brosse, du coup.

Les petites phrases

Il est relativement fréquent, dans les blogs dédiés à tel ou tel ou sujet, de relever les petites phrases pas forcément mal intentionnées mais qui font mal. » Et sinon, vous avez pensé à l’adoption ? » « Non, mais tout ça, c’est dans la tête, prenez un peu de vacances, et ça ira mieux. » « J’ai une amie d’amie qui a eu son bébé juste après avoir arrêté la PMA, un petit miracle. Comme quoi, il faut garder espoir »

Bref, là, je choisis le sujet qui me touche, mais je ne doute pas que les jeunes mères ont leur lot, ainsi que plein d’autres personnes dans des situations auxquelles je ne pense pas là tout de suite.

Je découvre maintenant les petites phrases liées au divorce. Moins nombreuses, heureusement. Par contre, dans ma situation, on peut avoir droit à un joyeux mélange des deux sujets susmentionnés. Un petit summum.

Oui, parce que bien sûr, quand j’annonce que je suis en train de me séparer, une des premières questions qui vient (enfin, pour ceux qui ne me connaissent pas encore à ce stade de la conversation), c’est de savoir si nous avons des enfants. Et à ma réponse négative, ce petit air indéfinissable pour dire « vous savez, ce n’est peut-être pas plus mal… »

Alors, oui, bien sûr, je vois très bien ce que vous voulez dire. C’est vrai que c’est peut-être « pas plus mal » qu’aucun enfant n’aie eu à subir les conséquences de tout cela. Et moi, j’ai pu m’écrouler sans avoir d’autre responsabilité que les chats. Avais-je besoin de vous pour m’en rendre compte ?

Oui, bien sûr, c’est plus simple de divorcer sans enfants, cela tombe sous le sens. Mais on parle d’êtres qui ne sont pas venus au monde. D’êtres qui, vivants, auraient été tellement plus que des enfants souffrants du divorce de leurs parents. Cela aurait été des enfants qui auraient, peut-être, aimé danser à l’école, ou regarder des graines pousser, des enfants qui auraient certes pleuré, mais ri, aussi (enfin…j’espère !), des enfants qui auraient eu un cœur et une âme. Personne (à part, peut-être, les écologistes, mais c’est un autre problème) n’est autorisé à dire que c’est mieux qu’ils ne soient pas là, même si, bien sûr, cette étape de leur vie aurait probablement été bouleversante pour eux, je l’entends. Et que cela aurait été un poil compliqué pour nous, les parents, également.

Cette remarque est peut-être une question de génération, parce que la plupart des personnes qui me l’ont dite, avec plus ou moins de tact et d’empathie, avaient plus de 50 ans. Peut-être parce que les séparations, avec ou sans enfants, sont plus fréquentes dans la génération plus jeune ?

Je me relis et je suis presque étonnée de cette colère qui se dégage de moi. Désolée, amis lecteurs qui n’y êtes pour rien. Je me demande si on dit la même chose aux hommes, dans les mêmes circonstances. En tous cas, je suis consciente, bien sûr, qu’il y a un effet « je vois que tu es dans la peine et je ne sais pas quoi te dire pour te faire voir les choses du bon côté », et je n’ai coupé les ponts avec aucune amie suite à ce genre de remarque, hein !

Humeur du moment : Je craignais une journée difficile aujourd’hui, à cause d’un triste anniversaire. Au lieu de faire comme si c’était un jour normal, j’ai pris le temps des souvenirs et d’évacuer la peine. Je suis fière de moi :p

Bande-son : un bon vieux Miyazaki des familles, cela fait toujours du bien

Litote mène une existence harassante

Relectures

Du coup, je suis en train de relire et sauvegarder mon ancien blog, à l’époque semi-héroïque d’Overb**g (le blog de la vraie période héroïque, le 20six étant perdu, sauf, sur internet archives. Ce n’est pas une grande perte pour l’humanité, soyons un brin honnêtes).

C’est assez étrange de relire ces textes, que j’écrivais quasi quotidiennement. Vraiment sur tout et n’importe, on avait de la philo à la mode Sel (autrement dit, dans le désordre le plus total, et à la relecture, je trouve cela dommage, d’ailleurs) avec des questionnements sur mais qu’est-ce que la justice/la vérité/l’amour/la vie, etc ? Mais aussi « et sinon, les mecs, vous préférez les filles en jupes ou en pantalons » (oui oui, j’ai fait ça. Pardon), des prières faussement bidons, des pleurnicheries diverses, bref.

Tout cela il y a quelque chose comme 15 ans, tout de même.

Et aujourd’hui ? Aujourd’hui, il y a le streaming et les réseaux sociaux. Bon, et les amis IRL, quand même. Certains de ces questionnements sont toujours présents, ou alors, j’en ai pris mon parti. Il y a eu la vie, il y a eu que j’ai eu l’impression à une époque que je ne pouvais plus dire n’importe quoi sur le blog, il y a que les blogs sont complètement has been.

J’aimerai toutefois revenir un peu sur ces pages. Soit dans le mode généraliste, soit, comme ces dernières années, plus dans le concret anecdotique d’une vie qui reste entre bleu clair et bleu foncé.

Probable qu’en vrai, cette note ne sera pas suivie d’une autre avant des mois. Mais sait-on jamais.

Je vais déjà commencer par ce que je faisais à l’époque en indiquant :

une bande-son (qui sera en l’occurrence Respire Encore de Clara Lucciani)

Une humeur du moment : si je reviens vraiment sur cette page, il va vraiment falloir la relooker, au moins son bandeau.

Une illustration

Photo du 29 mai, prise dans la roseraie du Mans. Parce que c’est de saison, et que les roses, c’est joli.

Joyeux noël (quoi, on est en février ?)

Oui, je reviens sur cette page, c’est fou, non ?

Je ne reviens pas en de super circonstances, pleine de joie de vivre, vous raconter des anecdotes de chats ou que sais-je. Non, je reviens aux toutes premières origines de ce blog, me lamenter sur mon sort et ma solitude. Qu’importe, de toute façon, au vu de mon rythme de publication, il n’est plus lu.

Ma vie a pris un tournant inattendu, et pas dans le genre agréable. L’homme qui partageait mes jours et mes nuits, que j’avais rencontré par le biais de ce blog aux temps héroïques de 20six, a décidé il y a six mois que finalement non. Ce n’était plus possible avec moi pour des raisons qui n’ont pas à être détaillées ici et qui ne sont pas toujours claires de toute façon.

Ce faisant, ma vie s’est un peu beaucoup écroulée. Mon activité professionnelle est devenue « impossible », non pas parce qu’elle ne fonctionnait pas, mais simplement parce que les conditions devenaient trop difficiles à vivre pour moi. Autre conséquence, je vais devoir quitter cet endroit que j’avais choisi et qui me faisait du bien (malgré beaucoup de défauts) pour revenir en des terres plus urbanisées et moins isolées.

Ce n’est pas la fin du monde, mais c’est la fin d’un monde, un monde qui était le mien et que j’aimais, malgré des difficultés qu’il ne faut pas éluder non plus.

En bref, je ne sais pas si ces événements me rendront plus présente ici, mais j’avais envie de mettre à jour ce blog tout de même, qui reste un journal, même s’il n’est presque plus mis à jour.

J’espère que vous, vous vous portez bien !

Nouveau chat

Ah ah, j’ai l’impression que chaque fois que j’écris ici, c’est pour annoncer que j’ai un nouveau chat ! Ok, ce qui signifie que j’écris en gros tous les deux ans…Je ne sais plus trop faire d’ailleurs. Mais bon, DDC (qui d’autre?) semble s’intéresser encore à mes petites aventures, et celles de mes chats, donc, alors voici l’histoire.

Or donc, nous sommes début novembre 2020, c’est à dire, au début d’un deuxième confinement en France. Qui dit confinement dit on-ne-sort-pas-de-la-journée. Non, même pas pour vérifier le courrier dans la boite aux lettres loin loin au bout de la cour. Il est 21h et il fait nuit lorsque je m’en rends compte et demande à C. avec mon parfait regard chat Potté style (on se demande encore comment C. n’est pas immunisé, avec tous les chats de son entourage !) s’il peut aller chercher le courrier, donc.

Quelques minutes plus tard, je le vois revenir en me demandant si je peux prêter une des niches extérieures de la pension et une couverture, car il y a un chat qui squatte le paillasson de notre voisine, voisine qui a un chat aussi (mais pas celui-là), et que le squatteur empêche le chat de la voisine de rentrer chez elle. Bref, niche apportée et installée dans la cour (d’autant que, confinement oblige, la pension était vide de pensionnaires), avec gamelle de croquettes et tout le toutim. Ni une ni deux, le squatteur s’empresse de s’y installer (mais il ne mangera rien cette nuit-là.)

Nous venons voir le lendemain : vous aurez compris qu’il y était toujours, et déjà prêt à nous suivre jusqu’au bout de la nuit cour de sa démarche boitillante. Bref, à ce stade là, nous avons pu facilement l’attraper et direction véto. Verdict : oreilles tellement abîmées qu’il était impossible de savoir s’il était tatoué, et en tous cas pas pucé. Négatif aux maladies les plus connues, mais bien sûr, énorme rhinnite (au risque de me répéter, c’était en novembre). Couvert de parasites et état général pas terrible. Mais (et cela, on s’en est rendus compte de suite), il a appartenu à quelqu’un vu comme il est peu farouche avec les humains. D’ailleurs, il est déjà stérilisé. Bref, quarantaine obligatoire de toute façon.

Ok, pendant la quarantaine j’épluche les annonces de chats perdus, en vain, vous l’aurez compris. Le chat, lui, en profite pour dévorer et prendre plus d’un kilo en 15 jours. Malheureusement, son oreilles bouffée ne repousse pas :p Il gardera toujours cet air étrange qui fait qu’il ne ressemble pas vraiment à un chat.

Voilà, la quarantaine se passe, le grand jour arrive où il doit être identifié à notre nom (et vacciné dans la foulée) : a y’est, il y a officiellement 4 chats dans la maison !

Aujourd’hui, il reste un chat un peu étrange, qui apprend peu à peu à communiquer avec les autres : avec nous d’abord (il commence à maitriser le miaulement « demande d’ouverture de la porte »), mais aussi avec les autres chats (il avait au début le regard super fixe, c’est limite moi qui lui ai appris à cligner des yeux (laissez moi ma naïveté !)). Au début, il passait son temps à foncer dans le tas, même vis à vis de la cheffe incontestée des lieux (à savoir l’Impératrice des Ténèbres, Azya de son petit nom), moins maintenant (il a quand même régulièrement des griffures sur le museau. Du coup, pas étonnant qu’il nous soit arrivé aussi cabossé !). Il n’osait pas sortir de la maison (sans doute de peur de ne plus pouvoir y rentrer, pas fou, le nouveau!), et maintenant, il gambade dans le jardin, toujours de sa démarche étrange. Il se jette moins sur la bouffe qu’au début, mais garde un sacré appétit, surtout que c’est un petit gabarit. Et il continue d’embêter les autres, qui ne semblent pas traumatisés poue autant.

Bref, nous avons un nouveau chat.

(et je suis désolée, je ne poste plus de photos de mes chats par souci d’anonymat. Si vous y êtes intéressés, il faut désoramais me le demander par MP. Je sais, c’est rude)

Et ton projet, dans tout ça ?

Ben oui, avec tout cela, je ne vous ai pas encore donné de nouvelles la fameuse « future » pension féline…Elle n’est plus future, elle est là, bien là, ouverte et prête à recevoir des chats ! Il y en a déjà eu quelques uns, mais bon, c’est un début, pour le moment.

Comme je veux garder un minimum d’anonymat sur ces pages, histoire de pouvoir continuer raconter n’importe quoi (même si peu souvent), je ne mets ni lien ni photos sur cette page, désolée…Sachez quand même qu’elle est en Ile de France…

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à laisser un commentaire, cela me donnera votre email, ou vous pouvez aussi m’envoyer un mail ou MP !

Et, soyons honnêtes, c’est agréable de pouvoir considérer comme son activité professionnelle le fait de nettoyer sans cesse, vider les litières, jouer avec des chats, les caresser et les brosser !

Nouvelle colocataire

Et je m’aperçois qu’avec tout cela, je ne vous ai pas présentée la nouvelle habitante de la maison !

Oh, rien de bien original, mais elle est rigolote et tellement kawaï avec ses pattounes blanches, et elle a une fourrure extrèmement douce. Et chaude, ce qui, en cette saison, n’est pas un luxe.

C’est une gourmande comme notre Kempi, très gentille et câline avec les humains. Par contre, avec les autres chats, elle montre qui fait la loi. Et c’est elle. Comme Kempi s’en fout tant qu’on peut faire une ou deux courses poursuites entre potes, sans stress, et à condition que tout le monde soit bien nourri, bien sûr, avec lui tout se passe bien. Mais c’est plus compliqué avec la petite Litote, qui ne veut pas se laisser marcher sur les pieds, mais n’ose pas attaquer non plus, et qui se fait donc systématiquement bouffer.

Bref, voici notre nouvelle peluche !

Azyadée (nom choisi par la SPA), presque deux ans maintenant.

Photos en vrac

Allez, hop, je profite d’être motivée pour continuer avec les photos.

5 septembre 2017

J’aime les plateaux de jeux de go (ou « go-ban »), je les trouve particulièrement beaux, ainsi que les pierres (nom donné aux pions). Celles-ci sont en verre. Par contre, je le reconnais, il ne faut pas avoir le mal de mer pour regarder la photos (je n’avais pas bu quand j’ai pris la photo, que je sache ? En tous cas, non, nous n’étions pas sur un bateau !)

Il y a eu une époque où j’ai un peu joué au go, mais toujours contre la même personne, ce qui ne permet pas vraiment de progresser, et en perdant 90% du temps, même avec des handicaps ! Mais ce n’est pas grave, c’est un jeu aux possibilités quasi infinies et aux règles très simples (en gros, on peut poser sa pierre où on veut sur le go-ban), et cela, j’aime !

Et si parmis vous, certains lisent et aiment les mangas, je ne peux que conseiller Hikaru no Go, un petit manga (une douzaine de tomes) très sympa sur un jeune joueur de go. Je ne donne pas plus de détails, mais n’hésitez pas si vous en avez l’occasion !

Photos en stock

Allez, encore un essai pour réveiller ces pages : je lisais un blog où, à l’occasion d’un tri dans ses photos, la blogueuse en profitait pour partager quelques photos avec ses lecteurs. Pourquoi ne pas essayer.

Me voici donc avec une première photo. Elle date du 26 juin 2010. Il y a donc presque 10 ans. Pffiou…Oui, c’est moi dans la robe blanche. Nous avions pris quelques cours de valse, avions failli nous débiner et ne pas la faire au dernier moment et puis bon, nous nous sommes lancés quand même. Cela aurait été dommage de ne pas le faire et…maintenant, j’aime bien les très rares occasions que nous avons de danser la valse.